
Ne sommes-nous pas aussi parfois le pharisien ?
Et si Jésus en invitant les pharisiens à jeter la première pierre à la femme adultére, nous invitait à regarder la deuxième partie de notre moi, c'est à dire le pharisien qui est en nous?
C'est sûr que lorsque Jésus interpelle des gens sur son chemin, nous pouvons 
être tentés de nous identifier aux "bons" et de considérer que les autres sont
les "méchants".
Je pense que c'est passer à côté des textes car, vous avez raison, nous sommes
toujours un peu la femme adultère et le pharisien, le riche Zachée qui accepte
d'accueillir Jésus chez lui et le jeune-homme riche qui tient trop à ses richesses
pour se mettre en route à la suite du même Jésus, Marthe et Marie, Judas qui s'enferme
dans sa culpabilité et Pierre qui s'ouvre au pardon. etc.
Une bonne manière de lire les textes, c'est parfois de se demander quel est
le personnage qui nous est le plus antipathique. Il se pourrait bien que c'est
celui qui nous ressemble le plus et duquel nous pouvons apprendre le plus de
choses !
être tentés de nous identifier aux "bons" et de considérer que les autres sont
les "méchants".
Je pense que c'est passer à côté des textes car, vous avez raison, nous sommes
toujours un peu la femme adultère et le pharisien, le riche Zachée qui accepte
d'accueillir Jésus chez lui et le jeune-homme riche qui tient trop à ses richesses
pour se mettre en route à la suite du même Jésus, Marthe et Marie, Judas qui s'enferme
dans sa culpabilité et Pierre qui s'ouvre au pardon. etc.
Une bonne manière de lire les textes, c'est parfois de se demander quel est
le personnage qui nous est le plus antipathique. Il se pourrait bien que c'est
celui qui nous ressemble le plus et duquel nous pouvons apprendre le plus de
choses !
 
 
 
 
 
 
 
