Que penser des phénomènes paranormaux?
Différents témoignages sur des phénomènes paranormaux ou des contacts entre esprits et vivants m'interpellent. Je ne suis pas du genre crédule, mais si je suis Chrétien, je crois à une vie après la mort, donc... pourquoi pas... Bon, ça ne me dérange pas de croire que ça peut exister, peut-être, quelque part... Mais quand, influencé par d'autres témoins, j'ai le sentiment de voir à "qqch qui cloche", des petites bizarreries au quotidien, ça se complique! Question: quelle est la position de l'Eglise sur cette problématique? Accepte-t-elle le principe d'interactions entre mondes parallèles, ou pas du tout? Comment perçoit-elle le travail des médiums, par exemple?
>Si vous cherchez une position officielle des Eglises au sujet des phénomènes
paranormaux, je crois pouvoir vous dire qu'il n'y en a jamais eu.
Ça signifie qu'elles ne nient pas l'existence de ces phénomènes, mais reste
prudentes quant à leur compréhension. Il existe probablement des personnes qui
ont une sensibilité particulière sur ces phénomènes, des personnes que le monde
appelle "médiums". Le tout est de savoir ce qu'elles font de leur don particulier.
Maintenant, votre question porte, si j'ai bien compris, sur la communication
entre les vivants et les morts. Or, là, la Bible est claire: les morts, on les
laisse tranquilles; ils appartiennent à Dieu seul, et la relation avec eux ne
lui appartient qu'à lui seul.
paranormaux, je crois pouvoir vous dire qu'il n'y en a jamais eu.
Ça signifie qu'elles ne nient pas l'existence de ces phénomènes, mais reste
prudentes quant à leur compréhension. Il existe probablement des personnes qui
ont une sensibilité particulière sur ces phénomènes, des personnes que le monde
appelle "médiums". Le tout est de savoir ce qu'elles font de leur don particulier.
Maintenant, votre question porte, si j'ai bien compris, sur la communication
entre les vivants et les morts. Or, là, la Bible est claire: les morts, on les
laisse tranquilles; ils appartiennent à Dieu seul, et la relation avec eux ne
lui appartient qu'à lui seul.