
Qui sont les malades, les bien portants de Mc 2,17 ?
Bonjour! ma question se réfère à Marc 2.17. c'est peut-être une question bête mais je me suis dit tant qu'à faire allons-y;-) En fait,Jésus dit qu'il vient soigner les malade,ce qui est logique. Mais,comme aujourd'hui,il y a des malades ET des biens-portants. Est-ce qu'il y avait des gens, voire un peuple "bien portant",je pense au peuple juif? Car si l'on est pas malade on ne va pas chez le médecin, et interprêté d'une manière différente,ces gens ou peuple,si c'est comme cela qu'il faut le comprendre n'aurait pas besoin de médecin,et dans le contexte de Jésus. Merci d'avance
Jésus vise visiblement ici les gens qui se savent Ÿ malades ou se considèrent
Ÿ bien portants. Aussi longtemps qu’on se considère, en effet, bien portant,
on n’a pas besoin de médecin, pas besoin de ce que Jésus est venu apporter au
monde. Cette parole est donc une invitation pour tous à se découvrir malades. Il
n’y a pas seulement ceux qu’on considérait à l’époque comme un peu malades (les
collecteurs de taxes et les pécheurs des vv.15-16) que Jésus appelle à le suivre
et avec qui il mange. Il appelle tout homme, tout en remarquant que ceux qui
sont considérés par la société comme des malades ont plus de facilité à chercher
en lui un soignant. Ceux qui se considèrent comme bien portants, comme menant
une existence vraie, comme n’ayant rien à se reprocher etc. ont un beaucoup plus
long chemin à parcourir. Il leur faut d’abord réaliser qu’ils sont malades.
Alors seulement ils pourront entendre la bonne nouvelle.
Ÿ bien portants. Aussi longtemps qu’on se considère, en effet, bien portant,
on n’a pas besoin de médecin, pas besoin de ce que Jésus est venu apporter au
monde. Cette parole est donc une invitation pour tous à se découvrir malades. Il
n’y a pas seulement ceux qu’on considérait à l’époque comme un peu malades (les
collecteurs de taxes et les pécheurs des vv.15-16) que Jésus appelle à le suivre
et avec qui il mange. Il appelle tout homme, tout en remarquant que ceux qui
sont considérés par la société comme des malades ont plus de facilité à chercher
en lui un soignant. Ceux qui se considèrent comme bien portants, comme menant
une existence vraie, comme n’ayant rien à se reprocher etc. ont un beaucoup plus
long chemin à parcourir. Il leur faut d’abord réaliser qu’ils sont malades.
Alors seulement ils pourront entendre la bonne nouvelle.

